- la commode de Tante Marthe,
- les Playmobil auxquels mes enfants ne jouent plus,
- les 10 briques qui me restent de l’aménagement du jardin,
- mes robes de grossesse,
- les romans de gare achetés pendant les vacances et que je ne relirai plus,
- les instruments de musique restés au fond du placard,
- les outils dont je ne me suis servie qu’une fois
que faire de ces objets, encore utilisables, si je veux m’en débarrasser?
Je veux aller vite
Les donner à une association caritative: Emmaüs, Secours catholique (pour les vêtements), association d’entraide de votre communauté.
Je veux être sûr que ça va servir à quelqu’un qui en a besoin
Les donner à un proche ou via un site comme recup.net et donnons.org.
Je veux pouvoir en tirer un peu d’argent (et je peux y passer un peu de temps)
Les vendre sur Ebay (rarement au prix que l’on en escompte) ou sur Le bon coin(on fait des rencontres sympas).
Les vendre lors d’une brocante municipale ou associative (plus amusant que lucratif).
Et vous, comment faites-vous pour vous débarrasser de ce que vous ne voulez plus garder?
Il y a régulièrement (généralement en début d’automne et au printemps) des « vide-greniers » organisés par des assoc’ de commerçants, dans les villes et villages. A quelques euros le mètres linéaires, c’est intéressant.
C’est l’occasion rêvée de vendre tous les vêtements, bibelots, livres, jouets, articles de sport, petits meubles… dont on veut se séparer.
Fixer un prix pour chaque objet (en restant ouvert à la négociation), ou vendre « par lot ».
Nettoyer, repasser les vêtements. Briquer à mort les objets : quand c’est propre, ça se vend mieux.
Présenter les vêtements sur un portant, avec une étiquette « âge » ou « taille ».
Présenter les autres objets sur une table (faite avec des tréteaux ou pliante) : c’est bien plus valorisant que sur une bâche étalée au sol et d’un accès plus facile pour le client potentiel (il n’a pas à s’accroupir ou se baisser).
Impliquer les enfants : ils vendront leurs jouets (et surveilleront le stand !).
Prévoir une caisse et un bon fond de caisse. Ne pas accepter les chèques (sauf si vous connaissez l’acheteur évidemment).
Noter au fur et à mesure ce qui est vendu et le prix (pour une autre fois).
En fin de journée, brader.
Donner les invendus à Emmaüs.
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bonjour Laurence,
tout d’abord bravo pour votre blog, en les lisant je souris souvent et je pense à mon mari qui est vraiment un écureuil, il garde tout et ça lui fend le cœur de se débarrasser d’objets devenus inutiles ou inutilisables 😉 c’est comme cela que mets venue l’idée de http://www.cocoventou.fr !! aider les personnes à se débarrasser d’objets ou meubles devenus encombrants mais pouvant encore servir à d’autres. tout en trouvant une contre partie pécuniaire ou altruiste .
On me confie la vente des objets et meubles et je m’occupe de tout le reste,(photos, annonces, relations avec les acheteurs etc…), plus de prise de tête pour les vendeurs, seulement le plaisir de remplir son porte monnaie pour s’offrir quelque chose d’autre ou faire un don pécunier tout simplement à une association.
je vous laisse visiter mon blog, on ne sait jamais cela peut interesser vos lecteurs.
A tres bientot
cocoventou
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Quand j’ai fini un livre dans le train ou le bus, et que je ne veux pas le garder,je le laisse là .il m’est arrivé d’en trouver aussi.On peut y écrire l’adresse de son blog….
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Merci, Marie-Claire, pour ces informations complémentaires bien utiles.
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Comment faisons-nous? Chez nous, on pratique bien les diverses pistes que tu indiques… J’y ajouterai :
– recyclage et récupération dans un réseau de proches (amis & familles) : les vêtements dans lesquels je ne rentre plus iront bien à ma fille qui a maigri ; le rideau qui ne convient plus dans son nouvel appartement fera son effet chez moi dans la chambre du fond etc
– en plus d’Emmaüs et associations caritatives, nous utilisons la recyclerie (ou ressourcerie) locale (cf http://ressourcerie.fr/reseau/index.php/pages/Le-concept-de-Ressourcerie) : j’apprécie leur atout écologique (recyclage d’objets à qui on donne une seconde vie) et solidaire (les personnes qui réparent, revendent, etc, sont en emploi d’insertion).
– un bon plan pour les gros lecteurs (dont je suis) : le site Troczone (http://www.troczone.com/) qui permet de très intéressants échanges. On propose les livres dont on ne veut plus (ça fonctionne aussi pour les CD, DVD, jeux video) et on choisit en échange d’autres ouvrages. Je pratique beaucoup et cela marche très bien, sans frais (ni adhésion, ni commission, juste les frais d’envoi).
– on peut aussi penser aux Systèmes d’Echanges Locaux (SEL) : les échanges que l’on y pratique concernent souvent des savoirs ou des services, mais cela peut aussi concerner des biens (cf http://selidaire.org/spip/article.php3?id_article=230).
Voilà, bon rangement de rentrée…
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