Comment obtenir la participation de mes proches?

Compagnon, compagne, enfants: tout le monde habite sous le même toit. Comment faire pour que tous les habitants se sentent concernés par le confort et l’hygiène de la maison et donc participent à son entretien?

Je vous préviens, allez vous faire un café puis revenez parce que l’article est long. Commençons par les enfants:

Les petits

Précaution préalable: l’éducation, comme la politique, sont des sujets sensibles. Vous pouvez avoir une vue différente de la mienne sur le sujet, et c’est très bien comme ça. Cependant, si vous êtes en désaccord avec mes opinions ou celles d’un lecteur, exprimez-vous avec votre courtoisie habituelle. Ce blog est apprécié aussi pour cela. J’y tiens.

Reprenons. On élimine d’emblée les enfants trop petits pour réaliser qu’ils devraient participer.

Cependant, ne perdez pas de vue que:

  • les enfants petits, dès 3 ou 4 ans adorent « nous aider ». Ce que nous percevons comme des corvées est pour eux une activité de plus à faire « comme un grand » avec leurs parents. Cinq minutes par ci par là, à cet âge-là, c’est déjà très bien. On se familiarise avec l’éponge, les bulles de savon, les chiffons, l’aspirateur…
  • si vous ne mettez aucun amusement, défi, surprise, ou enthousiasme dans les tâches ménagères auxquelles vous voulez associer vos enfants, ils n’accrocheront pas. N’espérez pas que vos enfants seront motivés par magie. Par contre, eux, ils aiment la magie. Pour utiliser ce goût à votre avantage, vous trouverez plein d’astuces dans mon guide « J’aide mon enfant à s’organiser« .

Les ados et pré-adolescents

Ils sont habiles à nous expliquer qu’ils apprendront comment faire le moment venu (au départ de la maison, évidemment) et que, par conséquent, cela ne sert à rien de vouloir les initier dès maintenant aux beautés des lessives. Ah oui,  ça raisonne, ça argumente, ça noie le poisson, à ces âges-là.

En général, ils sont habiles aussi à développer une inertie bien supérieure à l’énergie qu’il nous faut pour les mettre en branle. Quand on pense à l’enthousiasme avec lequel ils sont capables de s’amuser (foot, jeux videos, piscine…), c’est rageant.

Posons-nous ici la question de notre objectif en tant que parents:

  • s’agit-il de les contrarier le moins possible pour éviter ronchonnements, bouderies, conflits? Ne risque-t-on pas ainsi d’ entretenir l’illusion que la vie est remplie uniquement d’école (puis, plus tard, de gagne-pain) et d’amusement jusqu’à la retraite?
    Alors qu’en fait, la vie ressemble plutôt à un millefeuille.
    Veut-on leur laisser croire, comme je l’envisageais dans cet article que les choses se débrouillent toutes seules une fois que l’on s’en est servi?
  • notre objectif de parents pourrait être d’essayer d’en faire des adultes responsables et autonomes. Cela signifie  que nous devrions les aider à comprendre que leur famille, comme l’école (comme plus tard le monde du travail) ne sont pas vraiment des démocraties et encore moins des anarchies.
    Ce sont plutôt des endroits où des « despotes éclairés » (mais oui, vous, parents!) édictent des règles qui peuvent s’avérer parfois contraignantes.
    Par exemple, téléphones portables sont-ils autorisés en classe? Eh non.
    Est-ce que nos enfants sont autorisés à ne pas faire leurs devoirs parce qu’ils n’en ont pas envie? Eh non.
    Ces règles sont connues de tous et il y a des conséquences désagréables si elles ne sont pas respectées. Elles permettent des apprentissages et une vie en communauté plus agréable pour tous, voire moins dangereuse (code de la route ou techniques anti- bactéries).

Edicter et faire respecter des règles avec le moins d’effort possible

Si vous acceptez l’idée que vous, en tant que parent, êtes maître à bord du vaisseau « famille » et si tous les adultes sont sur la même longueur d’onde (pas toujours facile, j’en conviens), comment procéder concrètement?

Un parent a le droit de changer les règles

Quel que soit l’âge de vos enfants, vous pouvez changer les règles à tout moment. Si, vous pouvez. C’est vous le chef. Ils râlent et tentent de vous culpabiliser?
Vous avez peur qu’ils vous aiment moins? Souriez gentiment mais tenez bon. C’est (toujours) vous le chef. Bienveillance et fermeté: pas mal, non?

Les règles que vous allez édicter doivent être courtes, précises et à fréquence régulière, parce que l’on veut créer des habitudes.
Vérifiez soigneusement que c’est tenable dans le temps. Par exemple, décider que tous les dimanches matin seront dédiés au ménage alors qu’un week-end sur deux, il y a match de foot, ou que vous sortez en famille tous les samedis soir, c’est programmer l’échec.

Penser aux récompenses

Réfléchir à des récompenses bien ajustées à l’effort pour stimuler les nouvelles habitudes. Un simple changement d’attitude est à récompenser. On ne parle pas d’argent ni de cadeau à proprement parler. Une friandise, un câlin, une autorisation supplémentaire conviennent très bien.

Et aux « punitions », à l’avance

Réfléchir à l’avance aux conséquences désagréables du non respect de votre nouvelle règle et les faire connaître  au moment où vous énoncez ladite règle. Une petite contrariété fera l’affaire. 

Les avantages de préparer ces « punitions » (je sais, vous détestez ce mot) à l’avance c’est que, premièrement, vous pouvez en parler entre adultes au préalable, et donc être cohérents.

Le deuxième avantage, c’est que vos enfants sont prévenus: ils appliquent la règle: c’est parfait. Ils ne l’appliquent pas: quelque chose d’inconfortable pour eux arrive*. 

Le troisième avantage: comme vous n’édictez pas la punition sous le coup de la colère ou de la frustration, vous restez calme et elle n’est ni disproportionnée ni inapplicable.

Créer de la motivation

Vous connaissez l’adage « l’appétit vient en mangeant »? Figurez-vous que la motivation, c’est pareil.

Même si vous êtes très sérieuse dans votre démarche de partage des tâches, choisissez de leur expliquer vos demandes avec humour. Je suis sûre que vous vous souvenez de cette parabole. Et de cette méthode chimique. Si vous vous en souvenez, c’est parce que c’est imagé et un peu incongru.

Relire les articles sur la procrastination pour leur apprendre quelques techniques qui leur serviront toute leur vie.

Comprendre que vous allez répéter. Ca fait partie du processus. Mais voici comment vous faire entendre.

L’autre adulte du foyer

On en parlait déjà dans cet article**: On travaille tous les deux, pourquoi c’est moi qui fais les corvées? Comme d’habitude, je vous invite à lire aussi les commentaires, c’est enrichissant.

Votre avis sur le sujet, chers lecteurs?

* Ca ne vous rappelle pas votre vie d’adulte?

** Si vous êtes solo, je ne vous oublie pas, un article pour vous est en cours…


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14 Commentaires

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14 réponses à “Comment obtenir la participation de mes proches?

  1. Suzon

    Bonjour Laurence,
    J’attends avec impatience un article traitant de la lessive. Du bac à linge à la penderie en passant par la case repassage ???
    J’ai peu de vêtements mais encore trop car j’aimerais habiter dans une roulotte… tu vois ce que je veux dire… petit espace : studio, chalet…
    Bon, mon mari me suis par le tout petit habitat mais il garde beaucoup trop de choses à mon goût mais il se soigne…
    Merci pour ce blog qui est un régal pour moi, je m’autorise à venir le visiter quand (et seulement quand !) j’estime avoir bien rangé, trié, jeté… pendant 2 h. !
    Au grand plaisir de te lire et relire !

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  2. le point noir à évoquer dans un prochain article : comment faire travailler (quand il est là) le beau fils ou la belle fille qui estime que notre foyer est son « camps de vacances » ou il n’a que les pieds à mettre sous la table et où le parent ne dit rien par peur de « perdre » l’amour de son enfant ? je suis curieuse!!!! merci pour cet article

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  3. Emmanuelle

    Rosalie, votre maman était peut-être un peu radicale ?

    Pour nous, j’ai prévu, quand les enfants seront assez grands pour gérer le pliage et le rangement de leur linge, de faire une corbeille par personne, dans laquelle sera déposé le linge propre et sec. Charge à chacun de gérer le pliage et le rangement.
    Pour le reste, pour l’instant, les deux grandes (6 ans et demi et 8 ans) débarrassent leurs assiettes, le plus petit (3 ans et demi) le fait parfois spontanément, mais c’est toujours un peu risqué. Pour mettre la table, on appelle « qui veut aider à mettre la table ?! » quand on y pense, et bien souvent tout le monde vient.
    Le rangement des jouets, les trois y participent, en fonction de leur âge et aussi en fonction de la fin des devoirs…
    Pour ce qui est de ranger pour qu’on puisse faire le ménage, c’est plus compliqué, surtout ce qui est en vrac sur les meubles et empêche de faire la poussière… je pense que dans quelques années, je demanderai à chacun de nettoyer/maintenir seul son espace personnel.

    Ma maman était au foyer… elle a beaucoup « fait pour nous » (nous étions deux)… et considérait souvent qu’il était normal de faire les choses (lit, récupération de linge sale, etc) à la place de mon frère, alors que je me faisais secouer les puces (à partir de l’adolescence)… j’avoue que sur ce point-là, j’ai l’ambition de traiter mes trois enfants à la même enseigne : filles et garçon mettront un peu la main à la pâte (dans tous les sens du terme)…

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  4. Emma

    Il semblerait que faire participer les tout petits aux tâches ménagères soit très très bon pour développement intellectuel et affectif :

    Les fonctions exécutives, 3 compétences clés.

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  5. Odile

    Bonsoir!
    Ah, sujet sensible… Je dois avouer que j’ai fait participer au minimum mes enfants aux corvées quotidiennes… Etant maman au foyer, et solo, j’ai toujours aimé tout gérer, tout faire moi-même. Je leur demandais d’aider quand nous avions des invités, quand nous étions nous-même invités ailleurs, et au quotidien, chacun débarrassait sa propre assiette, ses couverts, et les mettait dans l’évier. L’aspirateur, très rarement, mais à l’adolescence, mon fils ainé me faisait parfois la surprise de faire le ménage à fond dans toute la maison quand je m’absentais, pour me faire plaisir!
    Mes deux ainés sont maintenant partis du domicile familial et gèrent plutôt bien les tâches ménagères, courses, etc… et ils m’aident quand ils viennent me rendre visite! Je pense qu’ils ont eu ce qui leur fallait pour se débrouiller, et je suis très fière!

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  6. Bonjour. 45 m² – 3 enfants(29/24/17)maman à la maison donc difficile de leur faire faire les corvée.l
    La grande est partie bonheur : étude, le deuxième départ/retour petit : tout en ordre grand beaucoup de mal à faire le minimum dans ses apparts reparti à cet heure-ci.
    Grand changement il y a 1 ans 1/2 j’ai trouvé un emploi extérieur avec 50 h parti de chez moi par semaine ( je ne dois pas être la seule)
    Après avoir râlé, désespéré, été en retard, le pli commence à se prendre de me décharger un peu des corvées : je ne désespere plus maintenant c’estmoi qui doit me mettre au désencombrement

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  7. Rosalie

    @Anne-Sophie : pour le linge, ma mère faisait un truc très efficace (si efficace qu’elle l’a peut-être fait deux fois maximum…) : le linge en pile pas rangé dans la chambre, elle le bousculait pour qu’il tombe par terre. Effet garanti, avec regard catastrophé du fautif en prime.
    Quand on a été assez grandes pour faire notre propre lessive (10-12 ans), et qu’avec ma sœur on avait marre qu’elle mélange nos habits, elle avait mis un panneau sur la machine à sécher avec le type de linge, la température (év. délicat), la lessive, l’adoucissant si besoin et le type de séchage en reprenant les icônes de la machine. Après, on faisait notre linge : ramassage, lessive, repassage, pliage et rangement. Si on ne le faisait pas, pas d’habits à se mettre.
    Sinon, pour le rangement et le nettoyage en général, nous avions chacun nos tâches le samedi. La maison n’était pas (et de loin) niquel, mais le nécessaire juste fait pour qu’on puisse accueillir des invités dans les pièces communes.
    Le plus drôle, c’est que ma mère n’arrêtait pas de répéter qu’elle avait hâte que les trois enfants quittions le nid, comme ça plus personne ne ferait de désordre et qu’elle aurait enfin une maison bien rangée et bien nettoyée (car nous étions forcément les seuls à faire du désordre et nous ne faisions pas grand chose de ménage). Au final, elle s’est rendu compte qu’elle avait plus de corvées que quand nous étions là et elle a engagé une femme de ménage…
    Laurence, vous avez tout à fait raison : il faut savoir reconnaître quand un enfant à aidé ou fait une corvée tout seul et le féliciter ou le remercier. C’est à mon avis la base pour qu’un enfant ne se dégoûte pas à faire ce genre de choses.

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  8. @Anne-Sophie : le linge est laissé dans leur chambre, mais pas rangé dans l’armoire, c’est cela ? Peut-être ne même pas l’amener jusqu’à la chambre, mais le laisser dans une panière loin de la chambre ( = ils vont devoir aller jusqu’au linge, ce qui est fort ennuyeux), avec un post-it sur l’armoire : « si tu veux ton linge, range le » ?

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  9. J’aime cet article ! Avec la « grande » poulette (7ans… pas si grande en fait) qui cherche à tout négocier (déjà tout bébé ça a commencé…), j’ai un credo : si tu veux être considérée comme une grande et faire des trucs de grands (inviter les copines à la maison, aller dormir chez une amie, aller au ciné avec papa ou maman, etc…), il faut se comporter en conséquence : ranger sa chambre, aider pour débarrasser la table, se laver correctement les dents, prendre sa douche toute seule. Heureusement, elle est très volontaire pour tout ce qui concerne l’école (faire ses devoirs, préparer son cartable). L’idée est de faire passer un message : quand on se comporte en bébé on fait des trucs de bébé, quand on accepte d’être raisonnable papa et maman sont plus disposés à écouter ce qu’on a à dire. Avec toujours en tête cette phrase de mon père qui m’énervait teeeeeeellement quand j’étais gosse : l’apprentissage, c’est la répétition ! Curieusement, ses petits frères aiment plus ranger et aider maman… même quand ils disent non ! Ah si, j’ai trouvé mon mantra à moi : on est 5 à la maison, si on veut vivre tous ensemble, il faut que chacun fasse attention aux autres.

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  10. Sharra

    depuis 3 semaines, il y a chez moi une interdiction formelle de laisser le moindre vêtement (ou pyjama) traîner (par terre, sur le lit, en vrac dans le placard…). Il y a une inspection quotidienne avant le coucher. ça a l’air de commencer à rentrer. Je pense ajouter un autre objectif d’ici quelques semaines.

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  11. Anne-Sophie

    Un truc qui marche depuis deux mois avec mes 3 ados ( au secours!) : le post it collé sur le miroir de la salle de bain, avec des consignes écrites:
    – rebouche les flacons, et range les
    – mets les boites vides, les flacons vides et les mouchoirs utilisés à la poubelle
    cela marche !
    bizarrement je n’ai jamais eu de problème avec les longs cheveux des filles dans la douche ou la baignoire ou les serviettes de toilette non étendues.
    Pas de problème non plus avec le linge sale qui atterit dans la panière blanche ou noire selon le linge. Le tri est fait.
    Pour les tee shirt mis à l’envers dans la panière, son possesseur le retrouvera propre mais à l’envers. S’il veut le mettre, il devra le retourner, à lui de choisir si c’est avant ou après la lessive…pareil pour les chaussettes. hé hé 🙂
    En revanche depuis que je ne range plus le linge de mes enfants dans leurs armoires respectives et que je leur laisse à disposition, il ne se passe pas grand chose. Là , je sèche. Si Laurence ou un lecteur a une idée, je suis preneuse.
    Et regarder dans l e lave vaisselle, s’il ne faudrait pas le vider ne vient jamais à l’esprit de mes jeunes…

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  12. Emmanuelle

    Un truc qui marche très bien dès 2 ans, à condition que le rangement soit facile (caisse ouverte, par exemple) et à condition de participer soi-même :
    1- « non Poulet(te), on ne peut pas sortir un nouveau jeu si l’on n’a pas rangé celui dont on ne veut plus
    2- « tu m’aides à ranger, s’il te plaît ? » (ici, en général, on essuie un vent sous forme de « NON TOI, TU RANGES »)
    3- « Holàlà, regarde comme ils sont fatigués, tous des cubes, ils ont très envie de se reposer dans leur caisse, tu m’aides à les faire dormir ? » et ce disant, hop, on met un cube à sa place… en moins de 3 secondes, l’enfant se prend au jeu et range… et il se souviendra la fois d’après qu’il faut ranger les cubes parce qu’ils sont fatigués

    Pour les vêtements sales, nous sommes chanceux (pour l’instant) tout le monde les met à leur place, dans les bacs communs de la salle de bains… sauf les chaussettes, qui restent entreposées dans les chaussures jusqu’à ce que je pique une rage…

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  13. Et bonjour!
    Ahhhh j’adore! Un article avec plein de liens, pour revoir ses classiques ! Du bonheur Laurence, vraiment!
    Ici avec 3 collégiens/lycéens, le terme familial validé c’est « dictature bienveillante! », traduire : mais bien sur mon/ma chérie, tes arguments sont tres intéressants! Néanmoins, tu pourras décider par toi meme d’une autre organisation quand (choisir)
    A/ tu auras du poil au menton,
    B/ tu payeras tes impôts,
    Pour l’instant, après dialogue, c’est nous qui décidons!
    Une fois la maison bien desencombrée (vive le démenagement pour faire le tri et repartir sur de bonnes bases) les routines du quotidien sont plutôt bien intégrées et les tentatives de négociations se font vraiment rares.
    Ma plus grande réussite: » je rappelle à mon aimable descendance que le linge sale ne sera lavé que s’il a atteri dans la panier prévu à cet effet et que le dit panier est descendu de l’étage jusqu’à la buanderie ». Il suffit d’appliquer! Quand il a manqué le jogging pour partir en sport une fois, il n’y a plus d’oublis!
    Bon courage à tous!
    L’air de rien, c’est une aventure passionnante que ces histoires de rangement car au final c’est bien de la qualité de vie et de relations à l’intérieur d’une famille dont il s’agit…. bon voyage à chacun d’entre nous !
    Bonne semaine!

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  14. Vous résumez parfaitement cet excellent article dans la formule « bienveillance et fermeté ». Merci pour cette bonne dynamique du lundi matin !

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