Alors, ce N° 59? Une essoreuse, une baratte, un lave-linge? Autre chose?
Un grand bravo aux experte(e)s Paquita, Maud, Cathie, Claire, Tamauya02, Louise, Aline, Maude, Loustica:
vous voilà officiellement Organisonautes Suprêmes. C’était bien une sorbetière.
Les numéros 35 et 57 ont attiré votre attention, voici de quoi il s’agit:
N° 35: c’est un moule à brioche (kougelhof, d’après moi… mais nos alsaciennes pourront nous le confirmer)
N°57: un pilon métallique
En ce qui concerne le N° 76, figurez-vous que la légende ne le précise pas. Il me semble que c’est un cellier (traditionnellement orienté au nord, dans l’épaisseur du mur, pour conserver au frais les aliments comme le beurre ou le fromage).
Anne, c’est tout à fait ça. De nombreux appartements parisiens, dans lesquels la cuisine était reléguée le plus loin possible des pièces lumineuses de réception, contenaient ce garde manger.;)
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Bonjour,
C’est la première fois que je me lance dans un commentaire, vive le confinement qui me permet d’en prendre le temps !
Pour le numéro 76, je propose tout simplement le « garde-manger ». J’en ai vu chez ma mémé, dans sa petite cuisine de petit appartement parisien.
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Merci Laurencr. Flute je n avais pas recu de mail m annoncant un nouvel article… j adore vous lire !
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Le 57 est un presse-purée, j’utilise ce modèle quand j’en faisfais. Le 76 est un garde-manger, le précurseur du « frigo »! Je verrai bien le 35 comme un moule à crème renversée, ma mère en utilisait un qui ressemblait à ça.
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Eh bien on s’est bien amusé! J’espère Laurence, que vous avez d’autres savoureuses illustrations à nous montrer 😉
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Pour le n°76, j’aurais dit garde-manger. C’est le terme que j’ai toujours entendu, en Bretagne, en ce qui me concerne.
Cette illustration est très intéressante, en tout cas ! Merci de l’avoir partagée.
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Le tamis de crin, j’ai toujours celui de mon arrière-arrière-grand-mère : nous nous en servons de mère en fille pour tamiser la farine.
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@ tous: oui, chez moi aussi le 57 s’appellerait plutôt un presse-purée (j’ai le même, d’ailleurs). Mais, c’est peut-être comme le mot « paletot » que mon grand-père utilisait à la place de gilet/cardigan. Même objet, nom qui a changé 😉
Le 56 est un tamis de crin.Son usage n’est pas précisé: une petite passoire, j’imagine?
On remercie en coeur nos alsaciennes qui sont bien nettes sur le sujet: le 35 n’est PAS un moule à kougelhof 🙂
Encore bravo à tous et toutes. Et hourra pour nos Organisonautes Suprêmes !
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Pour le n°35, l’alsacienne aurait plutôt dit un moule à brioche à tête
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Oh zut je suis arrivée après la bataille ! La faute à mon agrégateur de flux qui me met toujours vos posts en décalé !
Je revois la cuisine de ma grand-mère c’est une chouette idée !
A quoi servait le n°56 ?
Chez moi le 57 est aussi appelé presse purée …
Bonne journée !
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Merci pour ce beau titre d’organisonaute suprême, j’avoue qu’en ce moment, tout ce qui fait rire ou sourire est le bienvenu!
Merci pour votre travail, votre constante bienveillance et votre humour dans ce blog. prenez soin de vous et de vos proches!
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Le 57 est un presse-purée. Il a très peu changé, j’ai le même dans ma cuisine.
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Vraiment, je ne pense pas que ce soit un moule à kugelhopf : la bordure n’est pas compatible avec la pousse de la pâte, et il ne semble pas assez épais, même si c’était un moule en cuivre. Signé Louise (petite fille d’Alsaciens, dont les moules à kugelhopf ne sont jamais rangés autrement que dans le four, ou dans l’évier, car ils servent au moins trois fois par mois, tous les deux – ce qui vous avait étonnée, Laurence, quand vous êtes venue !)
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le moule à kouglof est plus arrondi, moule à flan plutôt , 57 un presse-purée plutôt
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Bonjour, il me semble bien que le 57 soit un presse purée. merci pour vos articles rafraîchissants !*
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Bonjour Laurence, le 35 ressemble à un moule à brioche mais en aucun cas celui d’un kouglof (suis alsacienne) – scotchée par la réponse pour le 59, j’ai souvenance que ma mère utilisait ce genre de bac pour essorer le linge (elle était née en 1920, et gamine j’aidais à le porter car il était lourd, rempli d’eau, sans doute un nouvel usage lui avait été trouvé, plus facile pour essorer le linge que nous lavions encore au lavoir
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