Pour ceux et celles qui ont pensé que ma fameuse sorbetière était une lessiveuse ou une essoreuse, voici de quoi comparer.
Il est bon de noter que les engins montrés sur la photo représentent le top de la technologie de l’époque. Il y a 9 pages (9!) de mon Larousse chéri de 1926 consacrées à ce qui s’appelait à l’époque le blanchissage. Et plein d’autres appareils que je vous montrerai, je le sens…
S'organiser c'est facile 
Il y a un petit mot pour chacune 🙂 Comme c’est touchant!
Merci Laurence 🙂 🙂
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Cathie, rappelons en effet qu’il s’agissait de rempli le bas de la lessiveuse avec de l’eau bouillante et du savon râpé. On ne lavait pas le linge avec la même fréquence qu’aujourd’hui et ce n’était pas du polyester non plus…
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Merci Rosalie. Grâce à vous, on sait maintenant pourquoi l’essoreuse n’a pas eu l’avenir qu’elle semblait mériter 😉
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Filo, oui, c’est bien de barbotage qu’il s’agit. Si c’est un homme qui manipule l’essoreuse, c’est parce qu’il s’agit d’une démonstration, voyez-vous. Pas d’un utilisateur. 🙂
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Elisabeth, d’abord vous êtes « inoubliable » et ensuite j’aurai beaucoup de plaisir à venir prendre le thé avec vous en fin de confinement. Oui, envoyez-moi donc vos photos: laurence.einfalt(at)agence-jara.com. 😉
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Souvenirs, souvenirs… Je me souviens de la première machine laver de mes parents dans les années 50. Elle avait déjà la carrosserie de nos machines actuelle, mais le système d’essorage à rouleaux de la dernière image. Ma maman a vite compris qu’on ne pouvait pas tout essorer, le passage dans les rouleaux cassait la plupart des boutons !!!
Merci Laurence de nous faire partager vos trésors, on en redemande !
Continuez toutes et tous à prendre soin de vous et des vôtres.
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Bonjour Laurence, C’est toujours avec beaucoup de plaisir que je parcours votre blog. Je ne sais si vous vous souvenez de moi. Vous étiez venue à Verrières le Buisson alors que j’étais dans un pétrin monstre suite à un déménagement. Peu à peu, je mets la tête hors de l’eau et le confinement va peut-être me permettre d’arriver au bout. Viendrez-vous prendre un thé pour fêter ça ?Je me suis « barattée » sur l’objet… mais j’ai retrouvé des photos. À l’Haý les Roses, une Association, « Traditions et savoir-faire « ou « Savoir-faire anciens » présente lors de fêtes ou manifestations diverses des objets et des savoir-faire : réaliser une corde, fabriquer son beurre etc…J’ai quelques photos de la machine à laver, de l’essoreuse, de la baratte. Voulez-vous que je vous les envoie ?Bonne journée avec ce beau soleil. Bien amicalement Elisabeth
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C’est génial! Belle tranche de rire, mais en même temps je me dis que les personnes qui s’en servaient devaient apprécier à l’époque ce confort de ne pas courir au lavoir avec de grosses pilles de linges….(pour arriver à lire les légendes j’ai beaucoup zoomé et j’ai cru lire « barboteuse ») et la quatrième photo, c’est monsieur qui fait l’essorage? 😉
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Ah! La fameuse essoreuse de la dernière photo (fig 392) Je ne me lassais pas de contempler ma mère quand elle s’en servait.
En fait, non, ce n’était pas ma mère que je contemplais 😉 mais cette pièce d’étoffe, parfois un drap entier, qui sortait petit à petit, tout fripé, tout plié!
Et l’odeur de la lessiveuse! Je serais restée des heures à en humer le parfum et à regarder le va-et-vient en demi-cercle du linge! Et ma mère qui me disait toujours « Ne t’approche pas trop! C’est dangereux, c’est bouillant! »
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