
Dans mon interview pour le magazine « Ca m’intéresse« , vous trouverez des pistes pour atteindre ce Graal des bordéliques: être enfin libéré.e du désordre.
Et pour aller plus loin, l’un des articles qui vous plaît le plus sur ce blog: que faire quand on est confronté à une pièce de la maison vraiment très très encombrée
Photo by Zel Ribeiro on Unsplash
La fascination pour la chambre d’hôtel correspond à l’angoisse de ne pas être à la hauteur… de la capacité de synthèse
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Merci Houney. Ca me fait plaisir de vous lire 😉
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Toujours bien de vous lire! Houney
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Sophie, c’est marrant que vous évoquiez les chambres d’hôtel parce que je suggérais dans cet article, justement, que les bordéliques, en plus d’être parfois sentimentaux, sont pleins de paradoxe dont, entre autres, une certaine fascination pour les espace épurés…
Et pour tout dire, s’ils n’étaient pas dans l’ensemble aussi adorables, je ne travaillerais pas avec eux depuis … 2004 :))
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Bonjour Laurence
Mais le bordélique est aussi un merveilleux artiste, angoissé par le vide de la chambre d’hôtel !
Il est hypersensible du passé : comment un petit cœur de bordélique pourrait faire disparaître les traces de ses parents et grands parents disparus ….impossible de jeter ses bons souvenirs à la benne !
Oui. Vous me direz c’est quand même une maladie curable si cet artiste du bazar fait une bonne thérapie et qu’il investit le présent et l’avenir, qu’il largue les amarres. Mais il reste inconsolable pour toujours. C’est le fait des humains. Tous. Sauf une mince frange de cœurs secs(ou pas) capables de tout vider sans état d’âme. Bravos mes frères et sœurs bordéliques !vous progressez pas à pas comme votre cœur vous le permet (et comme Laurence vous l’explique avec délicatesse)et Marie Kondo reste une énigme ….
Merci Laurence et bisous d’ une organisatrice de bazar non professionnelle
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