Chez les Einfalt, on aime s’amuser. Avec des jeux de société par exemple (tiens, il faudra que je fasse le tri là-dedans un de ces quatre…) ou avec des déguisements.
Et là, tout nous est bon. Un peu trop, justement.
Ainsi, le mot déguisement recouvre beaucoup de choses: des vêtements « folkoriques » jamais portés, en passant par des accessoires made in China vendus avec des panoplies, des perruques, des bijoux fantaisies, de vieilles ceintures et même de vieux draps (pour faire les fantômes et fabriquer des cabanes dans le jardin) et même des pinces à linge (eh bien oui, avec quoi on fait tenir les coins du morceau de drap qui sert de toit à la cabane?).
Il y a peu, je ne sais pas ce qui m’a pris, alors que je procrastinais cette session de fouille/tri/déblayage depuis des années mois, je m’y suis mise.
Je rappelle que mes enfants ont passé l’âge de faire des cabanes en drap et de porter des pagnes taille 6 ans avec colliers de fleurs en plastique.
Le résultat? Le voici:
Dans la corbeille: destination Emmaüs. Dans le sac poubelle, destination Ordures.
Le restant sera lavé, repassé et soigneusement rangé, au lieu de gésir (ah ah, je vous laisse avec le Bescherelle) au fond d’un coffre. Que je donne aussi, d’ailleurs, par la même occasion.
Ah! Je respire (et circule) mieux.
Vous voulez voir comment c’est, chez une organisatrice professionnelle?
Comme ça quand on cherche un système familial pour gérer les piles.
Ou comme ça quand on veut s’y retrouver grâce à des étiquettes.
Ou comme ça quand je me jette sur ma penderie avec fougue.