Vous en avez peut-être utilisé à l’école maternelle, des gommettes. Vous savez, ces petites formes découpées, colorées et adhésives?
Par ailleurs, figurez-vous que j’ai des clientes qui auraient été fort à leur aise au 18ème siècle. Je parle de leur délicieux savoir-vivre et de leur vocabulaire choisi, bien sûr.

Denis Diderot
Mais je parle aussi de leur tendance à se prendre pour des philosophes encyclopédistes. Elles conservent et collectionnent des tonnes de documentations « au cas où », « pour s’y référer », « pour se rafraîchir la mémoire », « pour se conforter dans leur avis », etc…
Bien entendu, pas question pour moi de leur faire jeter tout ce savoir. Celui-ci est plus imaginaire que réel, parce que plus vous entassez, moins vous retrouvez facilement. Elles en conviennent.
Au demeurant, 9 fois sur 10, leurs compétences de bonnes professionnelles ne nécessitent pas de support papier. Elles en conviennent également. Mais bon.
C’est là que mes gommettes entrent en jeu.
Voici la technique (en supposant que vos documentations soient peu ou prou rangées):
Dès qu’on attrape un dossier, un manuel, une revue, pour le consulter, on lui colle une gommette bien visible. Couleur et forme au choix, cher encyclopédiste.
Au bout d’un certain temps (un an? deux ans? comme vous voulez), il faudra bien constater que certaines informations n’ont pas reçu de gommettes. Du tout.
Ca veut dire qu’elles ne vous ont pas servi depuis tout ce temps-là.
Que vous n’en avez pas eu besoin.
Ou que vous ne saviez pas ce que vos dossiers contenaient, ce qui revient au même.
Informations inutiles, donc.
Et, je vous le demande, que fait-on des informations avérées inutiles? En choeur, dans les commentaires…
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Le philosophe et les gommettes
Vous en avez peut-être utilisé à l’école maternelle, des gommettes. Vous savez, ces petites formes découpées, colorées et adhésives?
Denis Diderot
Mais je parle aussi de leur tendance à se prendre pour des philosophes encyclopédistes. Elles conservent et collectionnent des tonnes de documentations « au cas où », « pour s’y référer », « pour se rafraîchir la mémoire », « pour se conforter dans leur avis », etc…
Bien entendu, pas question pour moi de leur faire jeter tout ce savoir. Celui-ci est plus imaginaire que réel, parce que plus vous entassez, moins vous retrouvez facilement. Elles en conviennent.
Au demeurant, 9 fois sur 10, leurs compétences de bonnes professionnelles ne nécessitent pas de support papier. Elles en conviennent également. Mais bon.
C’est là que mes gommettes entrent en jeu.
Voici la technique (en supposant que vos documentations soient peu ou prou rangées):
Dès qu’on attrape un dossier, un manuel, une revue, pour le consulter, on lui colle une gommette bien visible. Couleur et forme au choix, cher encyclopédiste.
Au bout d’un certain temps (un an? deux ans? comme vous voulez), il faudra bien constater que certaines informations n’ont pas reçu de gommettes. Du tout.
Ca veut dire qu’elles ne vous ont pas servi depuis tout ce temps-là.
Que vous n’en avez pas eu besoin.
Ou que vous ne saviez pas ce que vos dossiers contenaient, ce qui revient au même.
Informations inutiles, donc.
Et, je vous le demande, que fait-on des informations avérées inutiles? En choeur, dans les commentaires…
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