
Vivre dans un capharnaüm, c’est accumuler des choses. Mais aussi faire preuve de créativité et de sensibilité. Comment rester dans une limite… acceptable? se demande (et m’interroge) Valérie Rodrigue pour Marie France de juillet.
Je vous invite à lire son article ici.
Pense-bête
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Photo Annie Spratt via Unsplash
Le bordel n’est pas l’apanage de la gent féminine, du tout, du tout. Mais il semblerait que cela les préoccupe davantage. Et qu’elles cherchent davantage à « progresser » dans le domaine.
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Bonjour Laurence.
Merci pour cet article intéressant, comme d’habitude. Les caractéristiques d’une bordélique, c’est tout à fait moi … Je me demandais si le fait de passer dans l’article de « une personne bordélique » à « une bordélique » signifiait quelque chose. Lectrice assidue de votre blog, je sais que bon nombre de vos lecteurs sont des lectrices; de plus, Marie-France est un magazine à lectorat féminin, mais quand même : le bordel est-il l’apanage de la gent féminine ?
Véronique
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